jeudi 6 juillet 2017

Texte imaginaire post freudien

Tout ce qui suit est le pur produit de mon imagination, toute ressemblance avec des événements passés ou actuels étant survenus ne serait que malencontreusement due à votre imagination trop fertile. Faut bien que je gagne un peu d'argent, alors je me dis que je vais mettre les bases d'un prochain bouquin. Baby needs new shoes!

La liste des choses que j’ai subies dans ma vie fait vomir. La plupart des gens qui prennent connaissance de ces actes de cruauté sont soit pris d’incrédulité, soit en arrivent à vivre un choc psychologique. C’est pas marrant, mettez vous à ma place.
Ce n’est pas de me plaindre de mon sort, afin de trouver des gens qui compatissent, qui me motive à écrire. C’est de sortir cela de moi, pour passer à autre chose.
Lutter, je ne fais que cela depuis des décennies, au point que pleurer ne fait plus du tout partie de mon registre, et que tenir tête aux pires pervers est mon pain quotidien (enfin plus maintenant il est vrai).
Trouver les coupables fait bien entendu parties de mes objectifs, raconter devient par conséquent un acte logique et inévitable, pour tenir informé ceux qui enquêtent.

Mais il y a autre chose, c’est une envie de voir avec du recul l’ensemble de ces choses pour trouver une raison à cette immense… indignation, tristesse, colère profonde qui est lancinante au fond de mon coeur. Et après cela, découvrir quelle est l’énergie qui m’a permis de ne pas devenir fou comme tant d’autres le sont devenus après avoir subi ne serait-ce qu’une partie de ces choses. Une sonde en antarctique.

Petit j’ai été victime de pédophilie de façon assez violente, de la part de ma mère aussi. A 9 ans je n’ai plus voulu de ses bras maudits, elle a donc décidé de me lancer une guerre secrète à mort. Elle a employé ses relations fermentées pour qu’une brute me défonce à l’école afin de m’envoyer méditer quelques tortures à l’hôpital pendant deux mois. Cette brute est un enfant adoptif péruvien d’un homme politique du canton de Vaud, de deux ans mon aîné je crois, il m’a envoyé la tête à pleine force sur un coin de table. Des années plus tard il commettra un rapt, qui fit les premières pages. Tout ça pour dire que ma mère n’y a pas été avec le dos de la cuiller. A l’hôpital je me rappelle d’une infirmière qui m’a laissé le souvenir d’un bourreau, vraiment, un monstre méchant, très méchant, prenant plaisir à la souffrance d’un enfant avec sa face de porc.
J’étais à part cela souvent malade étant petit, de façon violente, avec des attaques de démons dans mes rêves (si on fait abstraction de ma mère en elle-même), l’impression qu’il m’en reste, c’est d’avoir grandi au bord de la mort. J’ai mis peu de temps à me rendre compte que peu de gens vivaient des choses similaires dans mon entourage. Puis quand mon père et moi-même avons quitté le domicile familial je ne suis plus jamais tombé malade. Je suis très résistant en fait, très très résistant.
Mais là c’est mon père qui a amorcé la descente vers la mort petit à petit.
Et pendant ces quatre années j’ai été son aide-soignant. Quelle belle bande de bras-cassés dans la campagne sous l’artillerie !
Mais pensez-vous que j’ai été soutenu d’aucune façon ? Non, bien au contraire, ma mère et sa fille ne cessaient de me faire des reproches à son égard, lorsque nous nous voyions.
Après sa mort, ma part de l’héritage m’a été volée avec l’aide de quelques notaires pourris dont un passe maintenant au tribunal pour des actes similaires.
Le comportement du mari de ma sœur, de ma sœur, et de ma mère me montre que leur implication dans ce que je sais être un assassinat est difficile à ignorer quand on y regarde de près.
Je me suis donc retrouvé seul, vraiment seul.
Mais toujours chassé.
En 1998, un grave accident de surf. Dans le cadre d’un guet-apens. Je n’ai pas été soigné, l’accueil médical a été une insulte qui se paiera un jour où l’autre. Les preuves sont dans mon corps.
Côtes cassées, vertèbres déplacées, épaule luxée, et je ne parle pas des organes internes. Au moins sur le champ de bataille on a parfois droit à des mains qui vous secourent et vous veulent du bien, si on n’est pas mort avant.
Comme je ne pouvais plus travailler, j’ai demandé 100 francs à ma sœur, elle et son mari m’ont poliment fait comprendre dans leur langage hypocrite d’aller me faire foutre… tout simplement.
Moi qui tentais toujours dans mes relations de couple de protéger mes copines des mains baladeuses de leurs pères (j’ai pas eu de chance dans la sélection faite par ma mère), pensez vous que ma sœur amatrice de tirades lyriques à propos des méchants papas incestueux aurait bougé son petit doigt crochu, ou rien que son cul, pour m’aider ? La réponse fait sourire, quand on est coutumier des enquêtes sur la pédo-criminalité dite ‘satanique’ (pour le show).
Je me suis en plus de tout cela, quelques temps après, trouvé défini comme cible par la famille de ma femme. Femme qui en plus de cela avait un prénom franchement ridicule.

Ma mère était proche de °°°°°-°°°°°° °°°°°°°, responsable de la culture pour la ville de Lausanne, et par conséquent proche du ballet Béjart. Moi je pense que ma mère était en fait la madame Claude de cette ville. Au moins deux de ses vendeuses avaient fait partie du ballet. Ce n’est pas pour dire que les danseuses sont des putes, mais dans cette ville à l’époque, presque.
Donc se dire qu’une famille en relation avec des assassins, des notaires pourris, des ‘danseuses’ sur le retour, qui est impliquée dans au moins un vol gravissime constaté, puisse être impliquée dans un trafic d’êtres humains, ce n’est pas de l’affabulation. Vol gravissime car commis sur un orphelin isolé, donc particulièrement révélateur d’un manque total de retenue, ou de connaissance du code d’honneur, procureur satanique ou pas.

Mes relations aux femmes étaient donc totalement contrôlées. Mes relations avec mes amis aussi, après un certain temps, 1993 pour être exact, la mort de mon père interviendra.
Cette année-là j’ai tout simplement été abandonné par ceux que je croyais être mes amis. Il faut dire que quelques années avant, j’avais perdu dans une avalanche ceux de ma classe qui auraient pu aller avec moi plus avant dans une vie professionnelle réussie et intéressante. Mais de là à penser que cette avalanche n’est pas due au hasard… nanan, dans une vallée qui n’avait jamais vu cela de mémoire de prêtre !

Qu’importe.

Le jour de la mort de mon père, c’est quatre jours que j’ai dû attendre avant de pouvoir l’annoncer à ma mère et à ma sœur. Je l’ai déjà raconté dans mon bouquin, mais je le répète car aujourd’hui je ne peux que constater que cela ne laisse aucun doute, c’est encore une preuve de leur participation à un assassinat. Ils étaient en train de fomenter ensemble de ce qu’il fallait dire, faire, en ce qui concerne la façon de faire main-basse sur le pognon. Jamais de ma vie je n’avais eu besoin de plus d’une demie journée pour joindre l’une ou l’autre, accros au téléphone, les deux pétasses.

Bref.

Je passe sur les nombreux comportements dangereux de la part d’usagers de la route à mon égard qui me donnaient plus l’impression de vivre au portugal ou au maghreb qu’en suisse.
Ma mère se vantait bien plus d’avoir eu une mini à Londres que d’avoir vendu son cul à des journalistes à Paris. Ses liens avec le gratin franc-maçon côté sodomie et petits garçons ne fait aucun doute pour moi. Alors quand vous les avez à dos avant même de savoir interpréter un petit doigt en l’air, c’est Verdun sans le fusil, laissez moi vous le dire !

Dans ce bout d’article sécrété sans souci pour la tournure, je ne souhaite pas vous faire part de l’impression que ça fait de voir ces visages quand vous les voyez, mais simplement faire la liste, ou tenter de le faire de temps à autres, histoire de réactiver mes ‘réseaux neuronaux’, pour ne pas les laisser aller en enfer sans avoir le vent dans le dos (ces gens-là, pas mes réseaux).

Puis il y a eu Miss Disney World dans ma vie, et de nouveau la destruction, le vol, Ils nous ont tout pris. Le manège équestre que je tentais de construire à bout de bras, mes enfants, les chiens, la situation sociale, etc. Alors nous avons fui, en France.

Un an dans la forêt, pour écrire ce livre, plusieurs battues de chasse clairement destinées à nous faire vivre ce fameux ‘accident de chasse’ qui ne viendra pas. Nous avons appris sur le champ les techniques ‘troupes spéciales’, toujours sans le fusil. Parfois le tir est entendu à moins de 30 mètres, et le calibre 12, ça pète. Protéger ma copine, comme d’hab.

Suis habitué maintenant, n’ai rien connu d’autre, avant de me les faire violer.

Et tout ce que ma mère et ses copines ont dit de moi : je suis un drogué paranoïaque, je suis méchant avec les femmes, je suis un affabulateur, je dilapide l’argent.

Mais ma vie à moi, c’est une pluie de morts encore plus longue, mon patron à la Piscine de Bellerive, mort. Mon Patron chez Protectas, mort (c’est moi qui ‘par hasard’ ai racheté son chien Blacky), celui qui a fait l’émission télé de Tell Quel sur la piscine quand j’y étais en me montrant de façon défavorable, mort. Mon parrain, chef de ‘révision’ à la Deutsche Bank, mort. Je trouve que ça fait beaucoup d’anciens patrons morts, mais bon, je ne voudrai pas être taxé d’affabulation. Je vous parle de morts survenues il y a 10, 20 ou 30 ans maintenant de cela, pour des hommes entre 60 et 70 ans il me semble. Des morts survenant par les temps qui courent pourraient bien être dues à la vieillesse bien entendu. Donc celles-là… pas !

Ils ont violé mes enfants bien entendu, pas la peine de le dire.
Ils les ont tournés contre moi bien entendu, comme ma mère a essayé de le faire avec moi.
Je n’ai pas de nouvelles d’eux depuis six ans, cela relève du pénal, mais ils n’en ont cure.

Menaces de mort, empoisonnements.

Pendant qu’ils passent le brevet d’hélico, des vacances en Algarve, en Suède, à Davos, etc
Et toujours cette accolade fraternelle, aaaah comme c’est beau d’être une pute à ce point-là !
Oui, c’est moi qui ai honte de les avoir eu dans ma vie, c’est bien ça qui me colle sous les semelles avec cette odeur ! De quoi vous faire jeter les chaussures.

Moi qui ai tout fait pour apprendre la sagesse, j’ai été persécuté de toute leur énergie par des châtelains de MA PROPRE FAMILLE. Invité dans des réseaux par personne, car maudit par eux, par ces porcs, je suis leur pire cauchemar à l’heure qu’il est.

Et puis ils ont jeté tout ce qu’ils avaient en terme de sorcellerie électro-magnétique et tout le bataclan. Mais ça c’est une autre histoire, ça fait cinquante ans qu’on sait que les ondes radars interfèrent avec le cerveau, mais ils persistent à croire que leur pédophilie leur donne du ‘pouvoir occulte’. Pauvres mecs !
Ils ont torturé mon fils cadet, mais ça c’est une autre histoire. Lui le radar, il lui ont écrasé la tête avec quand il était déjà sorti, mais toujours pas atteint les neuf mois. Quelle technique !

Alors chers lecteurs, comprenez que tout cela m’a amené au-delà de ce que l’on appelle une ‘envie de vengeance’ ou ‘envie de justice exercée par moi-même’. Pour diriger, il est important de savoir déléguer !
C’est aussi un peu pour cette envie de refaire ce grand voyage avec vous mes lecteurs, que je pose ces lignes, car un truc est sûr, c’est que j’incarne une certaine forme de courage, de force mentale. Mais bien plus que cela, quelles sont les vraies ressources cachées qui se sont révélées à moi pour me permettre de vous écrire aujourd’hui ? C’est cela la question. La sagesse que j’ai étudiée pendant tant d’années, est-il possible que cela soit lié dans l’invisible à ma victoire, car c’est une victoire aujourd’hui de pouvoir vous raconter tout cela, indubitablement.
Que suis-je pour avoir été capable de les emmerder autant que cela ? C’est encore un autre sujet.

Alors en attendant, le monde entier (ou presque) a switché en mode ‘évacuation de la merde’, les réseaux pédopornos, les partouzes au vatican, etc etc, va savoir pourquoi je me suis retrouvé dans cette merde mondiale à ce moment-là, au moment où enfin la justice des hommes met la main sur mes tortionnaires ! Ah quel panache ce caca sous mes chaussures !
Et je dois dire que je suis bien sorti d’auschweitz une fois pour toute, mais croyez-vous que j’ai des nouvelles de mes enfants ? Non. Croyez-vous que j’ai un espoir de me voir rembourser la somme volée, sans même parler des intérêts ? Non. Merde quoi, ça s’appelle la part réservataire, et même en usufruit, c’est quand-même un dû.
Tous les jours de ma vie, je travaille à bousiller leur ‘royaume’ fait de boulettes de caca de bébé constipé, et qui saigne du cul.
Ca ne me laisse que ZERO vacances, je dors avec mon pantalon TOUTES LES NUITS, je ne me rase que rarement, car JE N’AI PAS LE TEMPS. Ce qui fait peur à la plupart des gens, moi je m’en fous. Ce qui déchire le coeur de la plupart des gens, moi ça me motive à mettre en PLS et commencer à poser les questions d’usage en attendant l’ambulance, ou s’il n’y a plus de questions, le corbillard.

Donc dans cette lutte qui est devenue une guerre pendant ce temps, à une époque où bien des entrepreneurs avaient investi dans la destruction de villes entières, j’en veux pour preuve le fait de fabriquer des tours d’habitation avec des panneaux inflammables, je continue à avancer sans avoir le ‘luxe’ de me reposer. Le résultat c’est que mon esprit s’est complètement détaché de l’émotion relative à la vengeance/justice. Je n’ai plus de place pour les enfantillages et l’ignorance des choses graves de ce monde en guerre. Je regarde les bas-fonds de la corruption humaine avec une désillusion qui me rapproche du ciel, au sens intellectuel, les merdes ne volent pas.
Car il n’y a que dans les védas, dans la mythologie grecque, ou dans la Bible bien entendu, que l’on trouve des passages qui peuvent permettre d’aborder ce qui s’approche le plus d’une ‘rétribution’ adéquate face à un tel niveau d’abrutissement démentiel.
Peut-être est-ce pour cela que la Bible dit bien que la vengeance appartient à Dieu. Logique non ? Car devant tant d’horreur en érection dans du sang de bébés, se venger reviendrait à devenir fou je crois, ou tout du moins chercher à le faire pendant des années. Donc je crois que c’est cela tout simplement qui m’a aidé à tenir : ne pas le prendre perso, comme un bon militaire.
Et maintenant la vengeance arrive, dans sa dimension judiciaire, policière, militaire, incendiaire.
Car il n’est pas interdit de lutter, de se défendre, de dénoncer, et pourquoi pas de coller une tarte ou deux de temps en temps. Mais à part la légitime défense, ou les cas où l’on intervient pour sauver des innocents, se venger soi-même, je pense, a le défaut de faire prendre le risque de laisser échapper le coupable à une partie de ce qu’il mérite ici-bas. Rien ne remplace le plaisir immense de voir des monstres confrontés à leurs actes EN PUBLIC, et ça c’est vraiment horrible (ou jouissif, selon l’angle d’attaque). TANT MIEUX. Souvent, lorsque le coupable d’horreurs est abattu par la police, les proches des victimes expriment le regret qu’on n’ait pas pu l’amener face à ses juges.

Je n’ai rien à voir avec ces gens, il est évident que je n’ai plus aucune affection pour eux, mais je n’ai plus non plus de colère, ce sont les stades naturels psychologiques face à la mort ; le refus, la colère, la tristesse, et l’acceptation. J’en suis à l’acceptation, l’acceptation du fait que ces gens-là et moi-mêmes sommes totalement différents. Je me suis retrouvé au mauvais moment au mauvais endroit par ma naissance. J’ai appris la noblesse par la force, j’ai appris la vie par moi-même, j’ai appris la sagesse par la guerre, et l’amour par la perte. J’ai appris la force par l’amour.
Je n’en donnerai pas une goutte à ces gens, ce serait un poison mortel dans leur équilibre mental imaginaire et pschopathologique, incestuel post-freudien, je ne voudrai pas les terminer avant qu’ils ne comparaissent.

Bon, si ça arrive par accident, j’en suis plus à me lamenter sur mon sort, une balle de perdue, dix de retrouvées.

Plus de de dix fois la galle hyper-profuse, Ascabiol est mon ami ! Des céphalées dans la forêt avec des vomissements en jets à me faire tomber les plombages et me faire des plaques d’abdos et me limer les côtes cassées (au niveau du fossile des fractures). Me faire braquer dans ma chambre d’hôtel par des flics qui tremblent, le canon sur la tête, des troupes d’élite. Ramener des gens aux urgences, mon père, ma femme, mon enfant, des brûlés, des accidentés, y aller moi-même, ma déco d’intérieur, c’est celle de l’ambulance. Apprendre par des moyens détournés que mon fils aîné se prend pour spiderman. Avoir vu des faux-flics me menacer chez moi avec des gants en cuir. Apprendre qu’on viole mes enfants en changeant leurs couches. Avoir frôlé la mort en bateau, à pied, en voiture, à moto, à cheval, avec une femme, dans des restos, et tout ça pour du fric, du fric d’un mort. Me faire insulter, calomnier, menacer, trahir, mais jamais ridiculiser. Me faire flinguer dans la neige. Etre cocu au point de devenir une blague populaire. Se faire dévisager par le lieutenant d’une section de blindés légers sur le parking devant chez moi. Voir des gens mourir pour avoir été sympathiques avec moi. Voir des avions de chasse en rase-motte devant mon balcon, ou au dessus de ma tête, pour des bonnes et des mauvaises raisons. Des super pumas. Poursuivi par des orages de grêle. Se faire accuser d’être l’antéchrist. Se faire voler tout ce qui restait de la vie d’avant. Être tancé par des simulacres virtuels du diable, dans un grand jeu de rôles. Voir le Mistral à Marseille. Se retrouver coincé entre Gladio et la mer bleue et profonde. Ecouter des chants de jeunes soldats dans la nuit, près du campement. Voir des orages de loin dans un horizon de guerre. Faire la morale à un douanier russe. Faire la morale à un ambassadeur russe qui parle allemand. Parler à un hypocrite sans lui montrer que je vois son jeux. Constater un deal pour une bombe nucléaire dans la ville où elle est sensée exploser. Rencontrer des tueurs de guerre, des assassins, dormir avec. Bouffer du riz pourri avec des soldats africains dans un abri nucléaire. Se faire traiter de SDF. Sentir le vent tourner autours de la montagne au sommet de laquelle vous méditez. Voir les mirages en rase motte juste en dessous, prenant le virage pour éviter le sommet d’à côté. Préparer des cambriolages pour manger sans jamais pouvoir en faire un, maigrir. Voir des croix glorieuses dans le ciel (faites par des avions). Expliquer et démontrer pendant quatre heures à un procureur qu’il sera fusillé à cause de sa corruption. Inspirer la peur aux gens à cause de ce qu’on vous a fait. Contempler l’histoire et ensuite se faire rattraper par elle. Être au milieu d’un gros braquage.
Donner des instructions de guerre, soigner les enfants, parler à une femme, regarder les roses grandir. Regarder des roses mourir.

Regarder des trains de marchandises, regarder les nuages et y lire la politique, regarder les arbres et y lire l’histoire, regarder les pierres et y contempler les rois, regarder le feu et y voir l’enfer.

Regarder des chanteuses de mauvais goût, des continents de plastique, des accidents d’avions, des fraudeurs du fisc en politique. Des agents doubles qui affirment tout avouer.

Allez, à la prochaine bande de nouilles en treilli.